Monument de 1557

Saint-Quentin (Aisne)  -  FRANCE

 

Bas relief côté gauche

                          ... La scène tournée vers le théâtre montre un forgeron, improvisé artilleur, plaçant le canon sur le rempart, aidé d'un canonnier. Au dessus, un jeune homme sonne de l'olifant et brandit l'étendard des archers de Sainte-Christine...

 

Bas relief côté de derrière

                          ... Ce côté du monument fait face à l'hôtel de ville et montre l'épouse du mayeur, Catherine de Lallier, soignant un blessé. Son visage fut emprunté à Louise Hugues, la femme du maire réputée aussi pour sa bienfaisance. Fernand Mariolle-Gadmer, transporteur et conseiller municipal, a posé pour le blessé, soutenu par un jeune garçon, qui est peut-être son propre fils, Christian...

 

Devant du monument

                          ... Le côté principal montre le mayeur et l'amiral, tournés vers l'envahisseur. Coligny en bottes, casque à visière à l'immense panache, l'épée au côté, pose la main droite sur le plan de la ville. Le mayeur Varlet de Gibercourt l'écoute ; gentilhomme bourgeois, il porte son pourpoint de buffle, un "morion" (casque) d'homme d'armes. Il ne cherche qu'à s'élancer. Poulain, capitaine des pompiers, et François Hugues, maire, ont posés pour Coligny et le mayeur...

 

Bas relief côté droit

                           ... Cette scène tournée vers la basilique symbolise les trois ordres de la nation. Un soldat mort à ses pieds, un vieux gentilhomme blessé, tient encore sa hallebarde. Un vrai moine de Paris aurai posé pour ce personnage. Un garçon du peuple lance une pierre sur les assaillants. Le fils du directeur du Crédit lyonnais aurait posé pour ce héros...

 

  


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